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Régime sans gluten : risque de développer une nouvelle intolérance ?

 

Les intolérances alimentaires peuvent toucher n’importe quel individu. Toutefois, certains paramètres peuvent influencer leur apparition. Certains sont liés à notre vie, passée et actuelle, d’autres à la présence d’une première intolérance.

 

 

Facteurs favorisant un terrain fragile

 

Plusieurs éléments liés à notre naissance, petite enfance ou vie quotidienne peuvent fragiliser l’organisme. En voici quelques uns…

 

Naissance par césarienne plutôt que par voie naturelle 

Une naissance par césarienne prive le bébé d’une colonisation bactérienne par la flore vaginale de la maman. En effet, les bactéries lactobacilles, présentes en grande quantité, ont un rôle protecteur du bébé : l’acide lactique qu’elles produisent a tendance à éloigner les bactéries indésirables et renforcer l’immunité.

 

Allaitement maternel inexistant ou très court

L’allaitement maternel présente de nombreux avantages dont celui de favoriser chez le nourrisson l’installation de bifidobactéries, très gourmandes de lait maternel. Cette colonisation précoce influence grandement le futur métabolisme et le système immunitaire. Par exemple, un enfant qui présente peu de bifidobactéries durant la première année de sa vie a plus de risques d’être ensuite en surpoids ou intolérant au gluten qu’un autre qui en a beaucoup.

 

Ablation précoce des amygdales

Chez les enfants très fréquemment malades, il est préférable de patienter avant de supprimer les amygdales (si possible après l’âge de 7 ans). Ces ganglions ont un rôle protecteur de l’enfant dont le système immunitaire n’est pas encore tout à fait mature. Mais, en raison d’angines à répétitions, les amygdales peuvent devenir contre-productives en se transformant en foyer infectieux.

 

Prise fréquente d’antibiotiques

Les antibiotiques, destructeurs non sélectifs de bactéries, fragilisent fortement notre flore intestinale. Ces bactéries que nous hébergeons nécessitent jusqu’à deux mois pour se remettre totalement après un tel traitement. Pendant ce laps de temps, le microbiote ne peut alors plus jouer pleinement son rôle digestif et de barrière contre les microbes étrangers. Si plusieurs cures d’antibiotiques sont effectuées de façon rapprochée, un déséquilibre durable peut entraîner une fragilité.

 

Et la présence d’une intolérance au gluten ?

 

Une personne intolérante au gluten présente souvent une muqueuse intestinale très irritée. Ainsi, avant que le diagnostic soit posé, la personne a consommé des aliments riches en gluten, tels que le pain ou les pâtes, durant plusieurs années voire dizaines d’années sans penser qu’il s’agit là de la cause du mal… L’intestin fragilisé pourra être plus sensible à d’autres allergènes : fruits à coque, œufs ou, le plus souvent, lait animal. On parle de poly-allergies ou poly-intolérances.

 

Poly-intolérance la plus répandue : gluten et lait animal

Une muqueuse intestinale déjà fragilisée par l’intolérance au gluten peut parfois devenir réactive aux caséines. Ces protéines laitières sont de grosses molécules très sensibilisantes. Notre organisme ne possède pas de bagage enzymatique pour les digérer. Si le lait de vache est le moins bien toléré, les laits de chèvre et de brebis le sont un peu mieux en raison d’une teneur moins importante en caséines. Les laits végétaux, de riz ou d’amande par exemple, en sont dépourvus.  

Lorsqu’une personne débute un régime sans gluten, il lui est souvent conseillé de supprimer les produits laitiers animaux, au moins dans un premier temps, afin de mettre au repos l’intestin. Cette intolérance est parfois passagère.

Plus d’informations sur le lait animal dans l’article « 6 raisons de se méfier des produits laitiers ».

 

Surconsommation de riz : risque d’intolérance

Même si elle est rare, l’intolérance au riz peut s’installer chez une personne intolérante au gluten si celle-ci a tendance à surconsommer cette céréale au quotidien. Riz en grain, farine de riz, galettes de riz, lait et crème de riz, flocons de riz : les aliments dérivés de cette céréale sont nombreux et souvent très utilisés dans le cadre d’une alimentation sans gluten.

Un conseil primordial pour toute alimentation équilibrée, et a fortiori lors d’un régime sans gluten, réside dans la diversité des aliments consommés. Quinoa, sarrasin, millet, amarante : le panel des céréales sans gluten est plus étendu qu’on ne le croit ! Ma Vie Sans Gluten vous aide à diversifier votre alimentation en proposant des produits composés de farines variées et parfois originaux tels que la farine de sorgho, la préparation pour cake châtaigne souchet, ou encore le Mix’ pâte à tarte à la farine de lentille verte.

 

 

Comment se prémunir d’une intolérance au gluten ?

 

En renforçant son microbiote, alias sa flore intestinale ! Pour cela, voici plusieurs conseils :

  • Éviter l’excès de glucides, notamment de sucres blancs car ils nourrissent les mauvaises bactéries dans notre intestin. Les édulcorants de synthèse ne sont pas plus conseillés car ils peuvent déstabiliser le corps en apportant une saveur sucrée sans les calories qui vont avec. Par ailleurs, ils entretiennent la dépendance au sucre.
  • Limiter les aliments industriels et cuisiner au maximum « maison » à partir de produits bruts et sains pour limiter les ingrédients et additifs indésirables.
  • Privilégier les fruits et légumes frais, notamment issus de l’agriculture biologique. En plus de leurs vitamines, minéraux et fibres, ils contiennent des prébiotiques qui stimulent l’activité des bactéries intestinales. Voici quelques prébiotiques reconnus : ail, oignon, artichaut, asperge, radis, panais, poireau, topinambour, banane.
  • Consommer régulièrement des aliments fermentés tels que la choucroute, le miso (il en existe sans gluten) ou le kéfir.
  • Favoriser les aliments sources d’antibiotiques naturels comme le curcuma, l’ail, le piment de Cayenne ou le miel.

 

 

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